Il s’agit notamment du Burkina Faso, dont le ministre des Postes et des Technologies de l’information et de la Communication, M. Noël Kaboré, a annoncé la candidature de Brahima Sanou au poste de directeur du Bureau de Développement des Télécommunications (BDT) de l’Union Internationale des Télécommunications (UIT).
Le Burkina Faso postule, en plus, pour une place au Conseil de l’UIT, a précisé M. Kaboré à l’intention de ses collègues ministres de l’UEMOA réunis pour une journée de concertation à Bamako, la capitale malienne.
Le ministre de la Communication et des nouvelles technologies du Mali a, pour sa part, fait état de sa volonté de voir rempiler son compatriote Hamadoun Touré à la tête du secrétariat général de l’UIT pour un nouveau et deuxième mandat de quatre ans.
Quant au représentant du ministre nigérien en charge des Télécommunications, M. Malam Garba Abdou, il a appelé à un soutien au Nigérien Abdou Karim Soumaïla qui brigue le poste de secrétaire général de l’Union Africaine des Télécommunications (UAT).
La Côte d’Ivoire, elle, convoite le poste de membre du Comité des Radiocommunications pour Simon Koffi ainsi qu’une place au Conseil de l’UIT, a révélé son ministre des Nouvelles technologies, de l’information et de la communication, M. Houga Bi Gohorey Jacques.
L’UEMOA est composée de huit Etats membres que sont le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo.
Source: APA