Sawiris, cité par le journal norvégien ‘‘Dagens Naerinsliv”, explique son scepticisme par le fait que la société norvégienne Telenor – qui détient près de 40% de Vimpelcom – n’était «pas motivé» pour cette opération de fusion, d’une valeur de 6,6 milliards dollars US, parce qu’elle fait face à des obstacles en Algérie -, et à des «questions de réglementation dans d’autres pays» (sic!).
«Maintenant, j’ai des doutes sur la faisabilité de cette fusion. Telenor n’est pas motivée, comme je le vois. C’est, au mieux, du 50-50», a déclaré Sawiris.
L’Algérie a menacé de nationaliser la filiale locale d’Orascom, laquelle possède des actifs au Bangladesh et au Pakistan où Telenor possède également des unités mobiles.
Telenor n’a pas commenté la déclaration du magnat égyptien, mais elle a, maintes fois, émis des doutes sur l’accord Vimpelcom-Orascom. La fin du mois dernier, elle a même demandé des éclaircissements sur les conditions de la fusion avant que Vimpelcom ne rende sa décision définitive.
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