Cette convention a été signée par Lin Mombo, le Président du Conseil de Régulation, Mamadou Kouladé, Directeur Afrique et Louis Lubala, le Directeur Général d’Airtel-Gabon. Elle est la consécration de plusieurs mois de négociations et elle marque également un tournant historique pour le Gabon qui devient l’un des premiers pays d’Afrique centrale à se doter d’une telle technologie. Le Japon étant la seule nation au monde à disposer de la 4G.
Elle couvrira le territoire national dans les six prochains mois et sera accessible à moindre coût.
L’apport de la 3G grâce à la rapidité du flux de transfert de la connexion internet servira aux banques, à la médecine et aux internautes.
Les négociations sont également en cours avec les quatre autres opérateurs de téléphonie mobile actuellement présents au Gabon, Zain (ex-Celtel, du groupe koweïtien Zain cédé à l’entreprise indienne Bharti Airtel), Libertis (de Gabon-Télécom, groupe Maroc-Télécom), Moov (d’Etisalat, Emirates Telecommunications) et Azur (groupe saoudien Bintel).
3G.2Préoccupé par les coûts de commercialisation de cette technologie, le président du Conseil de régulation a indiqué qu’« à l’Artel, nous nous sommes employés depuis à rendre meilleur le marché des coûts de communication mobiles entre les différents opérateurs et à l’international. Aujourd’hui, les tarifs proposés au Gabon sont plus avantageux que ceux des autres pays de la sous-région et avec la 3G, nous comptons encore baisser les prix ».
Mais il est à noter que dans un communiqué du ministère de la Communication, l’on indiquait qu’ « outre les nouveaux postulants, seuls seront éligibles au processus (…) les opérateurs du secteur s’étant acquittés de la totalité des droits de licence de la téléphonie cellulaire de deuxième génération (2G) au 31 décembre 2009 ».
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