La téléphonie mobile et les TIC au coeur du développement durable – 20e rapport de développement durable d’Ericsson
Parmi les points forts du document, on peut noter :
- Projet éducatif « Connect to learn » déployé dans 33 écoles dans le monde. Deux écoles bénéficiaires au Sénégal près de Louga depuis novembre 2012.
- Objectif de réduction de l’empreinte carbone atteint avec un an d’avance (- 40 % en 4 ans au lieu des 5 ans prévus initialement).
- Des solutions moins énergivores, notamment grâce à l’énergie solaire.
- Des programmes pilotes pour apporter le très haut débit partout à moindre coût.
- Engagement renforcé de la société en termes de respect des droits de l’homme et de lutte contre la corruption.
A ce propos, Hans Vestberg, Président et CEO d’Ericsson, a déclaré : « Nombre des grandes problématiques mondiales, telles que l’urbanisation, le changement climatique et la pauvreté, pourraient bénéficier des solutions offertes par le haut débit mobile. Le développement durable est un facteur de différentiation que nous plaçons au coeur de nos priorités, comme le font également nos clients. Sur l’ensemble de la chaîne de valeur, et partout où nous opérons, nous créons de la valeur en nous efforçant de mener toutes nos activités de manière durable et responsable. »
Ericsson est engagé depuis longtemps dans le débat mondial sur le développement durable et continue d’être un acteur de premier plan au sein de plusieurs organismes afin de faire avancer le dialogue sur le rôle joué par les technologies de l’information et de la communication (TIC) dans ce développement. Hans Vestberg est personnellement impliqué dans la Broadband Commission for Digital Development (Commission du haut débit au service du développement numérique) où il a dirigé le groupe de travail sur le changement climatique et a récemment accepté de présider le groupe de travail sur l’agenda post-2015 et les futurs objectifs de développement durable. Il est également membre du Leadership Council du Réseau de solutions pour le développement durable des Nations Unies, une initiative multipartite lancée en 2012 par le Secrétaire général des Nations Unies.
Elaine Weidman-Grunewald, Directeur du développement durable et de la responsabilité sociétale chez Ericsson, explique : « Notre but est de rendre les communications mobiles plus abordables et accessibles partout dans le monde. Nous montrons le rôle positif que peut jouer la technologie, notamment lorsqu’elle permet d’évoluer vers des économies sobres en carbone, d’accroître l’accès à l’éducation et de soutenir des enjeux humanitaires, en particulier ceux liés aux réfugiés, à la paix, à la résolution des conflits ou encore à la gestion des catastrophes. »
En 2009, Ericsson s’était fixé pour objectif de réduire son empreinte carbone de 40 % en cinq ans. Cet objectif a finalement été atteint en quatre ans, principalement grâce aux améliorations systématiques qu’Ericsson a apportées à son portefeuille de solutions, à l’accroissement de l’efficacité énergétique de ses produits et aux efforts particuliers que le Groupe a déployés au niveau de ses opérations internes.
Elaine Weidman-Grunewald précise : « Avoir atteint cet objectif avec une année d’avance sur le calendrier prévu montre que nous assumons pleinement la responsabilité qui est la nôtre en tant que leader de notre secteur, en plaçant la barre toujours plus haut en termes de performances et d’offres. »
Les améliorations correspondantes pour 2012 comprennent notamment la réduction en valeur absolue des émissions liées aux déplacements professionnels (-16 %) et au transport des produits (-12 %).
Selon le Rapport sur la mobilité publié par Ericsson, 85 % de la population mondiale devrait bénéficier d’une couverture 3G d’ici 2017. Pour répondre aux enjeux de rentabilité et d’économies d’énergie liés au déploiement de cette couverture, Ericsson propose des solutions telles que Psi coverage, qui permet d’abaisser la consommation d’énergie de 40 %, AIR (Antenna-Integrated Radio), famille de produits permettant également de réduire la consommation d’énergie de 40 %, ou encore Managed Rural Coverage, une nouvelle offre qui regroupe un service géré et un mini-site 2G, 3G ou LTE alimenté par énergie solaire et tout spécialement développé pour pouvoir connecter les personnes vivant dans des régions non desservies par un réseau voix et données.
Le rapport décrit les projets d’Ericsson visant à utiliser la technologie à des fins positives (Technology for Good) et les jalons importants qui ont été franchis dans ce domaine en 2012. Le projet d’enseignement Connect to Learn a maintenant été lancé dans 33 écoles, notamment au Brésil et au Ghana. Plus de 185 000 réfugiés sont désormais inscrits sur la plateforme mobile Refugees United, qui aide les réfugiés à retrouver leurs proches. Ericsson est aujourd’hui le partenaire technologique de la fondation PeaceEarth qui a lancé son réseau Youth Peacemaker en Ouganda et dans le Sud Soudan.
Le rapport se penche également sur la priorité de plus en plus grande donnée par Ericsson à une conduite responsable de ses activités. Le Code d’éthique, qui rassemble les politiques clés du Groupe et les différentes directives qui régissent les rapports au sein de l’entreprise et avec les parties prenantes, a été mis à jour en 2012 afin de refléter les nouveaux principes directeurs des Nations Unies relatifs aux entreprises et aux droits de l’homme, ainsi que l’engagement d’Ericsson à respecter ces droits dans le cadre de toutes ses opérations. Pour accompagner l’application de ces principes, le Groupe a mis sur pied un programme de formation en droits de l’homme d’une durée de deux ans. Ericsson s’est également associé à l’initiative Partenariat contre la corruption (PACI) mise en place par le Forum économique mondial.
Pour consulter le rapport intégral : www.ericsson.com/sustainability