« Social Media Session » est une université d’été entièrement consacrée à l’innovation technologique. Cette manifestation vise à ouvrir au grand public, l’univers de ceux qui font bouger les choses dans l’écosystème d’internet au Sénégal. Plusieurs ateliers ouverts au public seront organisés durant les trois jours de l’évènement qui a pour thème cette année : «La révolution numérique, quel impact dans la ville ? ».
Etalé sur 3 jours, l’évènement « Social Media Session » accueillera les différentes communautés web du Sénégal qui partageront avec les participants, leur philosophie et leur vision de l’innovation technologique.
“Live it, Love it”, c’est la nouvelle marque de signature de la société de téléphonie mobile Tigo Sénégal. En conférence de presse, le Directeur de Tigo Sénégal, Diego Camberos a fait savoir qu’avec l’évolution du numérique et des besoins des consommateurs, il est impératif de s’adapter. A cet effet, Tigo a renouvelé sa marque de signature en passant par “Souriez, vous avez Tigo” à “Live it, Love it”. “Nous sommes dans un monde où le numérique est omniprésent dans notre vie. Pour étudier, créer une activité professionnelle et la gérer, faire des rencontres, s’informer, se divertir… nous avons besoin d’internet”.
C’est ainsi que Tigo compte, selon son Directeur Général, permettre à ses clients de bénéficier pleinement de ce nouveau monde et de ces nouvelles opportunités. Tigo Sénégal compte aussi soutenir les jeunes entrepreneurs, les porteurs de projets, les femmes et les populations rurales. Cela, grâce au numérique qui ouvre les portes du monde et du succès.
Concernant la portabilité, le Directeur de Tigo Sénégal estime qu’il s’agit d’une grande opportunité pour tous. Mais les grands gagnants sont les clients, car différents choix s’offrent à eux…
Ericsson a lancé la dernière édition du rapport annuel de son ConsumerLab sur la TV et les médias. Il rend compte des habitudes de 680 millions de consommateurs, en faisant ainsi l’étude la plus importante du genre.
Parmi les faits marquants du rapport, on peut noter que :
Aujourd’hui, 35 % de la TV et des vidéos sont visionnés « à la demande ».
Depuis 2012, on a observé une augmentation de 71 % du nombre de vidéos regardées sur smartphone, et près des 2/3 du temps passé par les adolescents à regarder des vidéos l’est sur un appareil mobile.
L’utilisation des plateformes UGC (contenu généré par les utilisateurs) s’est considérablement développée. Ainsi, près d’un consommateur sur 10 regarde des vidéos sur Youtube plus de 3 heures par jour.
Plus de détails de ce rapport sur le site d’Ericsson.
Retrouvez le rapport complet en cliquant sur ce lien.
Orange Collecte, premier service de crowdfunding , 100% mobile, dédié aux clients Orange Money
Orange a lancé en Côte d’Ivoire la première plateforme mobile de financement participatif en Afrique : Orange Collecte.
Cette plateforme offre la possibilité aux particuliers et aux associations de financer leurs projets personnels (mariages, anniversaires, etc.) ou caritatifs (cotisations, événements, projets, etc.) en faisant appel à leur réseau. Ce service novateur est ouvert à tous les clients Orange Money de Côte d’Ivoire. Les contributeurs pourront verser leurs dons via leur porte-monnaie électronique Orange Money.
Orange s’associe à HelloAsso
La plateforme Orange Collecte a été développée en partenariat avec HelloAsso. A travers ce partenariat, Orange s’associe à la démarche d’innovation sociale portée par HelloAsso. L’initiative Orange Collecte témoigne de la volonté du Groupe de soutenir les solutions innovantes pour répondre aux besoins essentiels de ses clients. Elle illustre également l’enjeu du développement des services financiers innovants en Afrique dans la stratégie de l’opérateur.
Orange Collecte, un mode de fonctionnement simple
Les clients Orange Money créent leur cagnotte sur Orange Collecte en composant le #144*8# depuis un mobile ou en se rendant sur le site internet collecte.orange.com.
Une association souhaitant proposer une collecte devra au préalable créer un compte Orange Money dédié à l’association. Quant aux contributeurs, ils choisissent une collecte, précisent le montant qu’ils souhaitent verser et valident le tout. Ils peuvent à leur tour inviter leurs contacts à participer à la collecte.
A la fin de la collecte, la somme collectée est directement versée sur le compte Orange Money de l’utilisateur.
Orange Money, la gamme Orange de services financiers sur mobile
En Afrique Subsaharienne, où moins de 24% de la population dispose d’un compte bancaire, alors que plus de 80% des habitants sont équipés de téléphones mobiles, Orange Money propose des services financiers mobiles offrant le confort et la facilité d’effectuer des opérations à distance et en toute sécurité
L’ouverture d’un compte Orange Money est gratuite pour les clients mobiles Orange. Ce système est très simple d’utilisation : les dépôts et transferts d’argent se font via le réseau GSM classique.
Il est possible d’effectuer trois types de transactions grâce au service Orange Money :
Le transfert d’argent : permet aux utilisateurs d’envoyer de l’argent électronique à n’importe quel client d’Orange Money vivant dans le même pays. Dans certains pays, il est également possible d’effectuer des virements à l’international.
Le paiement : permet aux utilisateurs de payer certaines factures à distance ou d’acheter des crédits d’appel facilement.
Les services financiers : incluent notamment des solutions d’épargne et d’assurance en fonction du pays d’origine.
Avec plus de 15 millions de clients et plus de 4,5 milliards d’euros échangés en 2014 dans 13 pays, Orange Money connaît un véritable succès.
Le premier site de réservation d’hôtels en ligne en Afrique Jovago.com vient de procéder au lancement de son application mobile. Pour le PDG de jovago.com, Paul Midy « le lancement de cette application mobile correspond à une demande des utilisateurs de la plateforme et vise à rendre celle-ci toujours plus accessible et faciliter davantage le processus de réservation d’hôtels, qui est cher à jovago ».
Cette application mobile, disponible pour la première phase sur Google Play Store, est gratuite à l’ensemble de la communauté des utilisateurs des appareils Android. Le lancement de cette application démontre l’engagement de la startup Jovago à se concentrer sur des solutions mobiles visant à rendre l’hôtellerie accessible à tous en Afrique.
«Le lancement de cette application est une étape importante pour nous, car nous aspirons à offrir une grande flexibilité et une expérience unique à nos client axée sur le mobile. Le continent Africain connait une poussée extraordinaire du mobile et en tant qu’acteur du digital nous nous devons de participer à cette croissance. Avec cette application les clients peuvent facilement accéder à notre inventaire d’hôtels sans soucis», a déclaré Paul Midy, PDG de Jovago.
L’Application lancée par la plateforme permet aux clients de trouver les meilleures offres parmi les 25.000 hôtels partenaires en Afrique et 200.000 hôtels dans le monde. Elle offre le même confort que la version web, et permet aux utilisateurs de visiter les pages d’hôtels (photos, description, lieux, équipements et les critiques des utilisateurs ayant séjournés dans ces hôtels). En outre, les utilisateurs bénéficient des offres exclusives d’une grande variété d’hôtels et ainsi que la garantie du meilleur prix. Les utilisateurs peuvent accéder à leur réservation en cours et l’ancien, même quand ils sont hors ligne.
En juin 2013, Edward Joseph Snowden, informaticien américain ayant travaillé pour la Central Intelligence Agency (CIA) et la National Security Agency (NSA), révélait que les Etats-Unis et le Royaume-Uni avaient mis en place des programmes de surveillance de masse visant à recueillir des informations en tous genres circulant sur les réseaux des opérateurs de télécommunications ou stockées sur les serveurs des fournisseurs de services en ligne. La révélation de l’existence de tels programmes de surveillance électronique n’était pas une nouveauté en soi puisque, dès le milieu des années 90, des informations avaient décrit le fonctionnement du réseau Echelon, mis en place par les Etats-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande, consistant en un système mondial d’interception des communications, publiques et privées, transitant par les satellites et les câbles sous-marins. Suite aux attentats du 11 septembre 2001, l’administration Bush déploya, un dispositif de surveillance reposant sur des lois d’exceptions dans le contexte de « La guerre contre le terrorisme ». Ce système de surveillance généralisé avait d’ailleurs été anticipé, de manière quasi visionnaire, par George Orwell dans son célèbre roman « 1984 » publié en 1949. Les précisions données par E. J. Snowden, sur l’ampleur et la nature des informations collectées par les Etats-Unis à travers le programme PRISM ont cependant montré que la réalité avait dépassé la fiction. Ces révélations ayant ont mis en évidence que les Etats-Unis ne se contentaient pas de collecter des informations sur les activités supposées être liées au terrorisme international mais également sur des citoyens, des entreprises, des organisations et des gouvernements de pays jugés « hostiles » ou « amis » voire même sur des institutions internationales telles que l’Organisation des Nations unies (ONU), le Conseil européen de l’Union européenne (UE), de grandes réunions internationales ou encore des responsables politiques de haut niveau comme la Chancelière allemande Angela Merkel, le Président français François Hollande ou la Présidente brésilienne Dilma Rousseff. Désormais, la question de la protection des données, personnelles ou non, appartenant aux citoyens, aux associations, aux entreprises, aux institutions mais également aux Etats est devenue une question centrale voire une question de société dans de nombreux pays du monde. Bien que la presse africaine n’en ait guère parlé, l’Afrique n’a pas échappé à ces activités de surveillance électronique de masse et parmi les cibles autorisées par la NSA figuraient notamment, dans un document daté de l’année 2010, l’Union africaine (UA) et la quasi-totalité des pays africains. Au-delà de la problématique des activités d’espionnage, somme toute classiques, auxquelles se livrent les puissances étrangères en Afrique, les révélations d’E. J. Snowden devraient donc être, pour les Africains, le point de départ d’une réflexion approfondie autour de la question de la « souveraineté numérique » envisagée dans une conception globalisante, prenant en compte une grande diversité d’aspects. En effet, le développement d’Internet en Afrique s’est réalisé dans un contexte marqué d’une part par la fracture scientifique et d’autre part par les politiques de privatisation des opérateurs de téléphonie et de libéralisation des marchés des télécommunications. Le premier phénomène a fait que l’Afrique est fortement déficitaire en termes de production de connaissances, de savoirs et de technologies alors que nous vivons à l’ère de la « Société du savoir ». Le second phénomène a abouti au désengagement de l’Etat d’un secteur hautement stratégique, et fortement rentable, avec pour conséquence le transfert de l’initiative à un secteur privé très souvent d’origine étrangère et par conséquent peu concerné par la problématique de l’intérêt national. La conjugaison de ces deux processus a été à l’origine d’un affaiblissement de la souveraineté des pays africains, pris isolément, et de l’Afrique, dans sa globalité, à travers un ensemble de politiques, logiques et pratiques qui sapent la « souveraineté numérique » du continent à une époque où les technologies irradient, chaque jour un peu plus, toutes les sphères de l’activité humaine. Dès lors il est urgent que l’Afrique inscrive la problématique de la souveraineté numérique parmi ses préoccupations majeures si elle veut préserver le peu de souveraineté qui lui reste dans un monde de plus en plus interdépendant.
Ericsson a annoncé qu’il accueillera une station d’innovation appelée « Ericsson AHUB », en partenariat avec Informa, à l’AfricaCom 2015, à Cape Town, du 17 au 19 novembre. Cette station d’innovation réunira des entrepreneurs leaders en Afrique, des start-up technologiques et des communautés d’investissement (« Angels ») pour encourager l’investissement et les talents dans le secteur de la technologie.
Cette initiative confirme l’engagement d’Ericsson pour mener la Société en Réseau en Afrique à travers l’innovation.
Selon Tumi Chamayou, vice-Président Stratégie, Marketing et Communications d’Ericsson en Afrique subsaharienne, « la pénétration du mobile en Afrique a mené à une émergence d’innovations et présente des opportunités importantes aussi bien pour le secteur privé que public. Ericsson encourage l’innovation au niveau mondial et local avec un grand nombre d’initiatives, dont les Prix d’Innovation reçus par Ericsson. Nous pensons que le AHUB d’Ericsson créera une plateforme qui va essayer de combler le vide qui existe entre l’innovation et le financement ».
En raison de l’absence de structures conventionnelles pour mettre à la disposition des jeunes des opportunités de parrainage et de permettre le lancement d’entreprises à partir de rien, le AHUB d’Ericsson aidera à créer une plateforme pour aider les start-up technologiques à présenter leurs solutions à une variété d’investisseurs.
Des entreprises innovantes se multiplient là où il y a un écosystème en place, étant donné que c’est ce qui garantit le plus un retour sur investissement. A travers la station d’innovation, Ericsson joue son rôle en créant un environnement propice à l’innovation qui aborde les défis spécifiques africains.
L’Afrique a adopté un certain nombre d’innovations qui répondent aux défis communs du continent. Des inventions qui exploitent le pouvoir du mobile ont aidé les agriculteurs à accéder aux informations agricoles, les étudiants à s’inscrire en ligne dans les universités à travers leurs smartphones, les infirmières à partager des informations sur la santé maternelle et à lutter contre Ebola, et les consommateurs à accéder aux services financiers grâce aux téléphones mobiles.
Ericsson mène des innovations à travers les fréquences de communication. Grâce à un investissement annuel de 5 milliards de dollars dans la recherche et le développement, Ericsson a été à l’avant-garde de quelques-unes des plus importantes avancées technologiques du mobile
Selon le dernier Rapport sur la Mobilité d’Ericsson, le nombre total des abonnements au premier trimestre 2015 était d’environ 910 millions pour toute l’Afrique, dont 21 millions de nouveaux abonnements. L’augmentation du nombre de possesseurs de mobiles a conduit à l’émergence de solutions innovantes dans différents secteurs, allant de l’éducation au transport, des soins de santé à l’agriculture. Le AHUB d’Ericsson vise à s’assurer que les idées innovantes de la région sont reconnues et soutenues pour une meilleure croissance de l’économie.
Tel sera le thème de la première édition de l’Afrique IT News Forum qui se tiendra à Paris ce 11 septembre 2015 dans le cadre inspirant de la Gaité Lyrique.
Si la “fuite des cerveaux” était un des maux aux conséquences les plus néfastes pour le continent africain tout entier, la tendance est de plus en plus au retour sur la terre mère.
En effet, selon une étude récente, près de 72% des Africains de la diaspora française à qui on a posé la question de savoir s’ils comptaient un jour retourner en Afrique, ont répondu oui. De ces 72%, 30% avaient déjà enclenché des démarches qui faciliteraient leur retour.
Sponsorisé par Orange, le Cabinet Vaughan Avocats et la Gaité Lyrique, le Forum sera l’occasion de répondre à des questions aussi sensibles et variées que :
Quels modèles d’investissements pour les Startups africaines ?
Faut-il lancer son entreprise ou travailler pour un grand groupe ?
Pourquoi les échecs des Startups en Afrique ?
Est-il nécessaire de passer par la case « incubateur » pour mieux s’adapter ?
Comment entreprendre en Afrique tout en étant basé en occident ?
Ce vendredi s’ouvre à Paris la première édition de l’Afrique IT News Forum qui se tient dans le cadre inspirant de la Gaité Lyrique.
Ce forum qui a pour objectif de dévoiler les secrets d’un retour réussi en Afrique se base selon ses organisateurs sur une étude récente qui précise que ; “près de 72% des Africains de la diaspora française à qui on a posé la question de savoir s’ils comptaient un jour retourner en Afrique, ont répondu oui. De ces 72%, 30% avaient déjà enclenché des démarches qui faciliteraient leur retour”.
Si la “fuite des cerveaux” était un des maux aux conséquences les plus néfastes pour le continent africain tout entier, la tendance est de plus en plus au retour sur la terre mère, soutient-on.
Ce forum sponsorisé par Orange, le Cabinet Vaughan Avocats et la Gaité Lyrique, est l’occasion de répondre à des questions aussi sensibles et variées que :
– Quels modèles d’investissements pour les Startups africaines ?
– Faut-il lancer son entreprise ou travailler pour un grand groupe ?
– Pourquoi les échecs des Startups en Afrique ?
– Est-il nécessaire de passer par la case « incubateur » pour mieux s’adapter ?
– Comment entreprendre en Afrique tout en étant basé en occident ?