Le programme national d’installation de stations solaires pour la recharge de téléphones portables dans les zones rurales non électrifiées a été lancé lundi à Thiandène, un village de la commune de Ndiaganiao, dans le département de Mbour, a constaté l’APS.
En présence de plusieurs autorités politiques, administratives, coutumières, entre autres, la cérémonie d’officielle a été présidée ministre de la Gouvernance locale, du Développement et de l’Aménagement du territoire, Me Oumar Youm, représentant son collègue en charge des Postes et des Télécommunications, Yaya Abdou Kane.
Le choix de Ndiaganiao pour lancer la première de ce projet s’explique à plus d’un titre, car cette commune rurale compte 38 villages mais un seul, Both Escale est raccordé au réseau de la Sénégalaise de l’électricité (SENELEC).
”Nous avons de grosses difficultés à nous connecter à l’Internet, cause pour laquelle nous aimerions disposer du service ADSL ou, à défaut, de la 4G’’, a plaidé le maire Gana Gningue.
Avec un lycée de 2.457 élèves, trois Collèges d’enseignement moyen (CEM), cinq postes de santé, les services de la mairie, de la Poste, entre autres structures, M. Gningue a soutenu qu’il y a là ‘’une forte demande pour le fonctionnement optimal des services’’.
Selon le DG de l’ARTP, Abdou Karim Sall, dans le but de continuer à assurer le service public des télécommunications, le code des télécommunications a créé un fonds destiné au développement de l’accès au service universel et au financement des charges de tout service au développement des services de télécommunications, des TIC, ainsi que celui des services publics de l’énergie et de l’audiovisuel.
Dénommé Fonds de développement du service universel des télécommunications (FDSUT), il a pour mission de financer les interventions visant à mettre en œuvre les stratégies du gouvernement en matière de développement de l’accès au service universel, notamment en vue de rendre les services de télécoms et de TIC accessibles à l’ensemble du territoire national.
Source APS et Dakaractu
Les Jambar Tech Awards, première cérémonie à récompenser l’écosystème TIC du Sénégal ! Le King Fahd Palace accueillera, le samedi 20 Décembre 2014, la première édition des Jambar Tech Awards. Organisée par l’incubateur d’entreprises CTIC Dakar spécialiste des technologies de l’information et de la communication, cette soirée de gala prestigieuse mettra à l’honneur l’économie numérique […]
Plus d’informations sur : www.jambartechawards.com
La vente de Mattel rebondit encore une fois sur la surface. Selon des sources citées par le magazine Jeune Afrique, Mattel, la filiale mauritanienne du groupe Tunisie Télécom, suscite de nouveau l’intérêt de l’opérateur sénégalais des télécommunications, Sonatel.
En effet, l’opérateur sénégalais de la multinationale française Orange souhaite étendre sa présence en Afrique de l’Ouest. Pour ce faire, plusieurs représentants d’Orange se seraient rendus à Nouakchott fin novembre dernier pour y rencontrer l’Autorité de régulation des télécommunications de Mauritanie, mais également le ministère des Télécoms pour débattre du renouvellement de la licence 2G de Mattel, qui prend fin en mars 2015 et de l’attribution de la troisième licence GSM au Togo.
A rappeler que Mattel, dont Tunisie Télécom détient 51% aux côté des mauritaniens Telcom BSA (24,5%) et Comatel (24,5%), occupe actuellement la troisième position en Mauritanie en termes de part de marché, derrière Mauritel (filiale de Maroc Télécom) et Chinguitti Tel (filiale de Sudatel).
Source : Tekiano
L’Université virtuelle du Sénégal (UVS), avec 5000 nouveaux étudiants orientés en 2014, occupe la deuxième place après l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), a indiqué jeudi Abdoulaye Alpha Dia, un membre de l’équipe de pilotage du projet UVS.
‘’En 2013, la première cohorte d’étudiants orientés et admis à l’UVS était de 2.100, et en 2014, avec la deuxième cohorte nous en sommes à 5.000 étudiants orientés dont 4.100 sont déjà inscrits”, a précisé M. Dia.
Il s’exprimait lors d’une tournée de présentation du Projet pédagogique et institutionnel de l’UVS aux nouveaux étudiants orientés à l’Espace numérique ouvert (ENO) de Kaolack.
Selon lui, cela ”porte l’effectif des nouveaux étudiants orientés à l’UVS à 7000 dont 5000 rien que pour l’année 2014 contre 4000 étudiants pour l’Université Gaston Berger (UGB)’’.
‘’L’UVS a donc plus de nouveaux étudiants orientés que l’UBG, l’autre grande université du Sénégal en termes d’effectif et de capacité mais aussi d’ancienneté’’, a-t-il relevé.
Il a expliqué que la montée rapide des effectifs de l’UVS est due au fait qu’elle repose sur ‘’un modèle’’ qui n’exige pas à notre Etat un gros budget de fonctionnement ou de réalisation.
‘’Contrairement à ces universités, l’UVS, grâce à un mode d’enseignement technico-pédagogique, qui repose sur l’usage des Nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC), offre à ses étudiants un enseignement libre à distance où qu’ils soient’’, a-t-il expliqué.
‘’L’UVS permet à ses étudiants munis d’ordinateur d’apprendre leurs cours avec la technologie numérique, d’avoir des interactions en mode vidéo, audio avec le corps professoral’’, a-t-il ajouté.
Kaolack a été retenue parmi d’autres villes, pour abriter un espace numérique ouvert (ENO) de l’Université virtuelle du Sénégal (UVS).
Sur environ 300 étudiants orientés à l’ENO de Kaolack, 282 sont inscrits dans les cinq filières retenues dans le cadre du démarrage de l’UVS, a indiqué Abdoulaye Alpha Dia.
Ces cinq filières sont les suivantes : mathématiques appliquées et informatique, sciences économiques et gestion, sciences juridiques et politiques, anglais et sociologie.
Source : APS
Dans un à deux mois, l’Agence de régulation des télécommunications et des postes (ARTP) concrétisera le projet de portabilité en mettant à la disposition des Sénégalais l’opportunité de pouvoir changer d’opérateurs sans pour autant changer de puce de téléphone, a déclaré mercredi à Dakar M. Abdou Karim Sall directeur général de cette structure.
M. Sall s’exprimait en marge de l’ouverture de la 2ème édition du forum national sur le développement des services à valeur ajoutée au Sénégal.
« On a tracé les canevas avec les opérateurs téléphoniques pour s’entendre sur ce qu’il faut faire notamment sur le parc des clients, la gestion et les tarifs », a ajouté le DG de l’ARTP.
Selon lui, étant donné qu’il faut aller vers une concertation avec les opérateurs pour pouvoir arriver à mettre en place ce chantier important, l’ARTP a aujourd’hui réussi à franchir l’étape importante du choix de l’accompagnant du projet qui va permettre d’aller sûrement vers une solution concertée et qui va garantir des résultats.
M. Sall a en outre révélé que le prestataire qui doit gérer la plateforme est déjà choisi en rapport avec les opérateurs.
Le DG de l’ARTP a, sur un autre registre évoqué un autre projet de son agence qui est l’audit des coûts des opérateurs téléphoniques.
« Pour la première fois au Sénégal, annonce-t-il, l’ARTP va auditer, à travers des partenaires choisis, les coûts au niveau des opérateurs ».
Selon lui, cet audit va permettre de vérifier la comptabilité analytique des opérateurs aux coûts qu’ils pratiquent. Ce chantier est très avancé, selon lui.
« Normalement en début d’année 2015, nous aurons les résultats et en rapport avec les opérateurs, l’ARTP va réagir pour voir les corrections éventuelles à apporter », affirme M. Sall.
Source : APA
Le Directeur général de l’Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes, Abdou Karim SALL a, lors de la deuxième édition du forum national d’échanges sur le développement des services à valeur ajoutée, indiqué qu’ils (les services) représentent l’aspect tangible des télécommunications et le facteur qui motive son développement.
Aussi a-t-il émis le souhait que les exposés faits sur ces différents sujets par les experts nationaux contribuent à la mise en place d’un cadre stratégique qui donnera une nouvelle impulsion au segment des services en vue de faire face aux enjeux du moment. « Nous voulons faire de ce secteur un levier de croissance, un moyen pour redynamiser et faire accroître l’économie numérique. Le développement des télécommunications va entraîner celui des Services à valeur ajoutée (SVA) » dira-t-il.
Avant d’ajouter qu’avec les progrès remarquables observés ces dernières années, la réglementation du marché des services est devenue un enjeu primordial qui pose de nouveaux défis à tous les acteurs du secteur des télécommunications.
Aussi et à son avis, les opérateurs de télécommunications ont un rôle fondamental à jouer dans le développement de ce segment. « Ils doivent participer à la promotion de l’innovation des fournisseurs et accompagner de manière favorable ces derniers en proposant notamment une grille de reversement harmonisée et mutuellement avantageuse sur les services ».
A cet effet, Abdou Karim Sall d’émettre le souhait de faire de la rencontre, un lieu d’échanges, un creuset d’idées et de propositions permettant de contribuer ensemble à la recherche et la mise en œuvre de solutions favorisant la croissance dans les services de télécommunications.
Source : DakarActu
Security Day est un symposium annuel sur la sécurité informatique en Afrique. Il s’agit d’un rendez-vous sur 3 jours des plus grandes entreprises mondiales de sécurité avec les clients africains (entreprises, administrations…). La prochaine édition se déroulera à Dakar les 18, 19 et 20 décembre au King Fahd palace.
Dans sa dynamique de mise sur pied d’un meilleur encadrement des acteurs du secteur des télécommunications au Sénégal et pour une prise en charge effective des préoccupations des fournisseurs des Services à valeurs ajoutée (SVA), l’Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP) organise le mercredi 17 Décembre 2014 à 09h00 au Radisson Blu de Dakar la deuxième édition du Forum d’échanges sur le développement des services à valeur ajoutée (SVA) au Sénégal.
Cette rencontre d’échanges, permettra à l’ARTP de présenter le rapport sur l’état d’utilisation des numéros courts de Services à valeurs ajoutés, de faire l’évaluation du suivi des mesures prises en 2013 concernant les fournisseurs de Services à valeur ajoutée, et enfin d’exposer sur les chantiers qui ont été entamés en 2014 par rapport à ce segment de marché.
De même, il est prévu l’intervention d’un expert de l’Union internationale des télécommunications (UIT) sur les dernières innovations et les futures perspectives sur les Services à valeur ajoutée.
Pour information, l’activité des fournisseurs de Services à valeur ajoutée s’est beaucoup développée au cours de ces dernières années avec d’importantes innovations et l’arrivée de nouveaux services sur le marché, notamment les services SMS et services vocaux.
Vous pouvez suivre le forum en live streaming et live tweet sur :
http://www.simtech.sn/live/artpforumsva
La publication par l’Agence de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP) du dernier rapport sur le marché des télécommunications montre (encore) des chiffres qui sortent de l’ordinaire. Six années après le lancement des services du troisième opérateur de télécommunications au Sénégal, nous assistons toujours à une hégémonie de l’opérateur historique Sonatel, utilisateur de la marque Orange. Chose impensable sous d’autres cieux, Orange se permet même de regagner des parts de marché sur le mobile où il détenait à fin septembre 2014 55,52% des abonnés mobiles actifs au Sénégal. A la même période, Expresso montait légèrement à 20,29% et Tigo quant à lui reculait sensiblement à 24,19% de parts de marché. Ces tendances mettent à nu la fâcheuse tendance qu’a Orange à recruter plus et mieux les clients que ses concurrents.
Pourquoi l’opérateur Orange est-il toujours si « fort » ?
Dans la plus part des pays à trois opérateurs, il est très rare de constater une si forte résistance de la part de l’opérateur historique plusieurs années après l’entrée sur le marché d’opérateurs « alternatifs ». Pourquoi au Sénégal l’opérateur Orange jouit-il de cette insolente santé malgré la présence de Tigo et d’Expresso ?
La première des potentielles raisons est, à notre avis, la qualité de ses concurrents. Intéressons-nous d’abord à Tigo, la filiale locale du groupe luxembourgeois Millicom Cellular. Cet opérateur ayant lancé ses services en 1999 a, dès 2001, connu une longue période d’incertitude due à un conflit juridique avec l’Etat du Sénégal sur la validité de sa licence qui, selon les autorités sénégalaises de l’époque, a été acquise à vil prix (50 millions de FCFA, environ 100.000 $ US). Ce manque de visibilité sur l’avenir a quasi-inhibé la capacité d’investissement de l’opérateur, ce qui a laissé la voix libre à Sonatel Orange pour « écraser » un concurrent désormais doté d’une faible capacité d’innovation et de riposte. Il a fallu attendre l’arrivée au pouvoir du Président SALL en 2012 pour un règlement à l’amiable du conflit, ce qui permit à Tigo d’acquérir enfin une licence 3G et de renouveler par la même occasion son réseau qui avait entre temps pris un sérieux coup de vieux. Cet éclairci dans le ciel de Tigo (lancement de la 3G) s’est vite manifesté en fin 2013 – début 2014 par un bond en avant impressionnant sur le marché de l’internet mobile avec une première place, fut elle éphémère, car n’ayant duré que le temps d’une rose.
Passons à Expresso. Cet opérateur, filiale de l’opérateur historique soudanais Sudatel, lança ses services en début 2009 avec la technologie CDMA. En plus d’une licence acquise à un prix trop élevé (100 milliards de CFA), le choix de la technologie CDMA fut la deuxième erreur stratégique d’Expresso. Ce fut stupéfiant de voir comment cet opérateur, qui était censé créer un tsunami sur le marché des télécoms, a mis sur le marché un package terminal “CDMA+SIM” à 15.000Fcfa au moment où la concurrence offrait un terminal GSM+SIM à 10.000 Fcfa. Constatant que les ventes ne décoller point, et muni d’une licence 3G, Expresso profita du lancement de ses services 3G pour migrer subtilement du CDMA au GSM. Mais le mal était déjà fait car l’opérateur historique avait déjà bien profité de cette période de flottement stratégique pour ré-assoir sa dominance.
En somme, nous pouvons dire qu’Orange a bénéficié d’une sorte de Baraka surréaliste allant des ennuis juridiques de Tigo aux hésitations technologico-stratégiques d’Expresso en passant par un certain déficit de vision de ces deux opérateurs. Nous aurions eu à la place d’Expresso des opérateurs comme Airtel ou MTN, la situation concurrentielle du secteur serait certainement toute autre aujourd’hui.
Un fort soupçon d’abus de position dominante
Devant la presque involontaire hégémonie d’Orange sur la plus part des segments de marché, il est légitime de se poser la question de savoir si cet opérateur n’abuse pas d’une certaine manière de sa situation de dominance pour conserver ou améliorer ses parts de marché. Il y a, dans le dernier observatoire de l’ARTP, un élément qui va un peu dans le sens de notre ressenti. D’après ces chiffres officiels, 93,9% des appels émis le sont vers un numéro du même réseau. Cet état de fait est naturellement à l’avantage de l’opérateur ayant le plus gros nombre de clients, donc Orange. Cette situation ubuesque qui perdure depuis des années s’explique par un tarif hors réseau (Off net) qui serait artificiellement plus élevé que le tarif des appels intra-réseau (On net). L’objectif recherché étant de décourager, par les tarifs, les appels vers les autres réseaux. Ce phénomène, appelé « effet de club », est le pire ennemi des autorités de régulation qui se respectent.
Devant cette réalité des chiffres, y aurait-il quelque chose à reprocher à Orange ? Très franchement, pas grands choses. Les griefs seraient plutôt à l’encontre de l’autorité en charge de la régulation à posteriori de ce secteur, dans le cas qui nous concerne, l’ARTP. Afin que Tigo et Expresso puissent concurrencer Orange sur ses appels intra-réseau et vis-versa, il est indispensable que l’ARTP fasse une analyse sérieuse de ce dysfonctionnement du marché et qu’elle prescrive enfin les remèdes qui permettront de ramener ce taux d’appels intra-réseau à un niveau économiquement raisonnable.
D’autres abus de dominance sont malheureusement à redouter, notamment sur le marché Entreprise, sur celui des services à valeur ajoutée (SVA) mais aussi sur celui de l’accès à internet. Le poids économique et la forte capacité de résistance de Sonatel face à une concurrence qui se démène comme un beau diable laisse présager de fortes synergies qui ne doivent pas, toutes, être licites du point de vue du droit de la concurrence.
Le rôle du régulateur dans tout ça ?
L’ensemble de ces constats mettent en lumière la faillite du régulateur de télécoms qui depuis plus d’une décennie a manqué plusieurs virages qui ont été fatale au développement de la concurrence sur le marché sénégalais des télécommunications. A ces rendez-vous manqués s’ajoute cette instabilité institutionnelle qui est congénitale à cette instance de régulation, les directeurs généraux vont et viennent au gré des régimes en place et de leurs intérêts du moment. Chaque nouveau DG prend le soin, dès son arrivée, de faire le ménage dans l’équipe dirigeante, souvent selon des considérations politiques et ceci au grand dam d’une régulation correcte du secteur.
Pour finir sur une note d’optimisme, il est nécessaire de préciser que les spécialistes du secteur entrevoient néanmoins une lueur d’espoir suite la publication récente des lignes directrices de l’accès et de l’interconnexion qui posent réellement les bases de l’éclosion d’offres alternatives avec entre autres nouveautés les conditions d’une naissance d’opérateurs d’infrastructures, de MVNO, et de vrais FAI ayant accès à la bande passante internationale. Ajoutez à ces points le dégroupage annoncée de la boucle locale de cuivre de la Sonatel, nous pouvons dire, sans risque de nous méprendre, que 2015 devrait être une année intéressante pour le marché sénégalais des télécommunications.
Le modou-modou des télécoms
Ma Pause Digitale est une conférence annuelle qui célèbre l’impact positif de la technologie dans le développement économique et social. En regroupant des entreprises, des développeurs, des chercheurs, des étudiants et autre blogueurs autour d’une thématique et un panel d’expert dans le domaine de l’innovation technologique.
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RV A L’AUF(agence universitaire de la francophonie derriere Ex-ENSUT)
C’est ouvert au public…Venez nombreux