Le ConneCTIC, le rendez-vous incontournable des entrepreneurs TIC du Sénégal revient ce 28 Aout à partir de 18h au Novotel Dakar.
Retrouvez les partenaires du CTIC,
les nouvelles entreprises incubées,
les nouveaux entrepreuneurs du Programme BuntuTEKI,
la présentation de Baobab Entrepreneurship et des projets sélectionnés et,
Profitez des opportunités d’ affaires lors du cocktail de réseautage.

Venez nombreux et parlez en autour de vous, l’entrée est libre et gratuite.

Inscrivez vous sur http://samaevent.com/events/connectic-special-rentree-l-accompagnement-des-pme-tic-pour-un-senegal-emergent-144

Retrouvez toutes les photos des précédents Connectic sur facebook.com/cticdakar.

Un grand merci au sponsor de l’événement, le Programme PACC PME-PMF de la GIZ sans qui ce connecTIC d’envergure ne serait pas possible !

Programme

  • 18h : Arrivée des participants et réseautage
  • 18h30 : « L’accompagnement des PME TIC pour un Sénégal émergent et numérique »

Mot du Sponsor : GIZ (5 min)
Mots des officiels

  • 19h : Présentation des nouveaux incubés de CTIC Dakar (12 min)
  • 19h15 : Présentation des nouvelles startups du programme BuntuTEKI (10min)
  • 19h30 : Présentation de la plateforme Concree.com et des projets accompagnés
  • 19h45 : clôture & cocktail réseautage

 

Dans un communiqué reçu par ITmag, le Comité de Direction du Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (CODIR) informe avoir organisé, les 22 et 23 août 2014, un séminaire portant sur la revue à mi-parcours du programme d’activités 2014 du FDSUT.

Selon le communiqué, cette rencontre a été l’occasion, pour l’Administrateur du Fonds, Monsieur Abdou Karim Sall, Directeur général de l’ARTP de présenter le niveau d’exécution des différents projets du Fond de Développement du Service Universel Téléphonique (FDSUT) et de proposer un plan d’actions à moyen terme.

Le Comité de Direction du Fonds, dirigé par le Docteur Ali Coto NDiaye et composé de M. Mamadou Aladji Ly, M. Cheikh MBacké, Mme Sophie Ndiaye, M. Pape Gorgui Ndong, M. Abdoulaye Ngom, et de M. Doro Sy, a pu apprécier l’état d’avancement des projets en cours et a échangé avec le Centre des Incubateurs TIC de Dakar (CTIC).

Le Comité de de direction du Fonds a également reçu les huit (8) lauréats du « Concours FDSUT » qui a été lancé en octobre 2013 à l’endroit des jeunes développeurs sénégalais pour accompagner le développement des secteurs de l’agriculture, de l’élevage et de la santé en dotant les acteurs de solutions basées sur les TIC. Il s’agit des promoteurs des projets ci-après :

  • pour le secteur de la santé : Ecosanté, CMU Connect et Système d’Informations pour établissements sanitaires (SIES)
  • pour le secteur de l’élevage : Daral, Sen Ngunu,
  • pour le secteur de l’agriculture : Seed Com, Sooretul et Baol Rang.

A l’issue de ce séminaire, le Comité de direction du Fonds a retenu de finaliser, les projets ci-après :

  1. Installer des réseaux WIFI dans les universités du Sénégal et dans 3 lycées d’excellence ;
  2. Lancer le projet ‘’Connecter les établissements scolaires du Sénégal’’ et ‘‘accompagner le processus de modernisation des Daaras’’ ;
  3. Acquérir des systèmes de chargement solaires pour soulager les populations des zones dépourvues d’électricité ;
  4. Concevoir un logo, une charte graphique et mettre en place le site internet du FDSUT.
  5. Procéder au bouclage des projets en cours de mise en œuvre par les huit lauréats qui ont été sélectionnés suite au concours lancé en partenariat avec le CTIC ;
  6. Procéder à la réhabilitation de la cybercase de Popenguine ;
  7. Faire la situation de la couverture numérique du territoire national.

Rejoignez-nous à Dakar, au Sénégal, pour la 5ème édition de la Conférence d’AfPIF du 26 au 28 août 2014. Ne manquez pas le premier évènement de peering en Afrique.

AfPIF attire les FAI, les fournisseurs de contenu, les décideurs politiques et les Points d’échange Internet au cours des trois jours d’apprentissage, de partage et de formation de réseau d’affaires en Afrique.

Pourquoi y participer? Jetez un coup d’œil au rapport d’AfPIF-2013 qui contient une note d’informations sur les présentations, les discussions émergeantes, les présentateurs et les sponsors au http://goo.gl/1Zf1uS

Si vous êtes intéressé à faire une présentation à cette occasion, ou à participer à une de nos tables rondes envoyez votre proposition au comité de programmation basé sur le thème et l’ordre du jour d’ AfPIf-2014, disponibles ici : http://www.internetsociety.org/fr/afpif-2014/appel_communication

Les opportunités de parrainages sont disponibles pour promouvoir votre société à ces publiques cibles – plus de renseignements sur les parrainages sont disponibles ici : https://www.internetsociety.org/fr/afpif-2014/sponsor-opportunities

Vous cherchez des bourses de voyage pour participer à AfPIF-2014? Les places sont limités, cependant vérifiez si votre profil correspond aux critères, ici : http://www.internetsociety.org/fr/afpif-2014/bourses_afpif_2014

Inscrivez-vous maintenant pour garantir votre participation – et merci de penser à vérifier votre besoin de visa pour le Sénégal. https://www.internetsociety.org/fr/form/afpif

La startup Baobab Entrepreneurship procède au lancement de la phase pilote de sa plateforme de collaboration CONCREE ce Jeudi 28 août 2014 à l’occasion du ConnecTIC organisé par le CTIC Dakar.

Selon un communiqué parvenu à ITmag, parmi une multitude de soumissions qui ont été reçues pour considération à cette phase, seuls 15 projets ont été retenus pour y participer. Les projets ont été choisis en fonction de leur originalité, du problème qu’ils essayent de résoudre et de l’enthousiasme du ou des porteur(s) du projet.

La startup précise dans son communiqué que : “cette phase test se déroulera sur une durée de six mois au terme desquels nous souhaitons que chacun de ces projets soient relativement avancés et qu’ils puissent:

  • Valider leur modèle économique,
  • Maîtriser leur marché,
  • Développer leur plan d’affaire et
  • Potentiellement sécuriser un investissement”

Plus d’information sur le lancement de la phase pilote sur ce blog : http://startupsenegal.tumblr.com

 

Les technologies de l’information et de la communication (TIC) constituent de ‘’formidables opportunités’’ pour les entreprises médiatiques, d’où l’importance de développer le e-journalisme à travers notamment le web 2.0, selon des spécialistes et professionnels du web.

‘’Le journaliste est obligé de s’adapter à ce nouveau mode de collecte de l’information mais aussi de traitement et de diffusion de l’information journalistique sur un support dématérialisé qui est le numérique’’ a expliqué Aboubacar Sadikh Ndiaye, consultant formateur en web 2.0 et en e.journalisme.

Il s’exprimait en marge d’un séminaire de formation sur les secteurs régulés organisé par l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP). La rencontre a pris fin vendredi.

Il a rappelé que le “Web 2.0″ désigne la seconde génération du développement du web dans sa conception, et qui vise notamment ”la facilité de communication, le partage de l’information, l’inter-opérationnalité, la conception centrée sur l’utilisateur et la collaboration sur la grande toile mondiale’’.

Le e-journalisme est donc le fait de pratiquer le journalisme sur un support digital qui peut être le web, les réseaux sociaux ou la téléphonie mobile, a t-il précisé, soulignant aussi l’importance pour le journaliste ‘’de ne pas ignorer les nouveaux types de clients qui s’adressent à l’information des médias’’.

Pour Mountaga Cissé, consultant formateur et spécialiste des nouveaux médias, ‘’les outils technologiques sont une aubaine pour les journalistes car elles permettent un meilleur traitement de l’information (…) le e.journalisme est donc une nécessité (…)”.

M. Cissé avait auparavant présenté la plateforme itmag.sn, qui fait de la veille technologique au Sénégal, en Afrique et dans le monde concernant le secteur des télécommunications des médias de l’informatique.

De son côté Basile Niane web-journaliste et blogger, a soutenu que les médias sociaux ”offrent également des opportunités de trouver des sources d’informations au cœur des événements qui font l’actualité pour les journalistes et les rédactions’’.

”Avec les téléphones mobiles, les gens créent des contenus, des photos et des vidéos vraiment intéressants que nous pouvons facilement trouver et intégrer dans nos reportages’’ a t-il expliqué.

Il a plaidé un coup de pousse en faveur du e-journalisme en donnant beaucoup ”plus d’importance aux outils technologiques pour le bien du métier”.

MF/OID
Source : APS

Les journalistes sénégalais spécialisés en TIC viennent de mettre sur pied un réseau afin de mieux véhiculer l’information du secteur qu’ils couvrent. A l’issue d’une concertation en marge d’un séminaire organisé par l’ARTP à Saly le journaliste Ismaila Camara est porté à la tête de ce réseau. Le présentateur de l’émission @robase à la RFM nous livre ses ambitions.

La liste des membres du bureau du réseau des journalistes spécialisés en TIC (JTIC)

  • Président : Ismaila Camara (RFM)
  • Vice président : Alexandre Lette (Echos2rues – Rufisque Tech Hub)
  • Secrétaire général : Baye Mékébé Sarr (La Gazette)
  • Trésorier : Fatou Wade (Mourchid TV)
  • Communication : Mamadou Faye (RDV)
  • Formation : Basile Niane (Social Net Link)
  • Organisation : Ndèye Marième Ndiaye (Sud Fm)
  • Commissaires au compte : Mansour Sow (RTS), Mame Woury Thioub (Le Quotidien)

JTIC ARTP Saly 21-08-2014

Réunis à Saly Portudal pendant deux jours, plusieurs dizaines de journalistes et professionnels de l’information spécialisée en télécoms et TIC participent à un séminaire de formation et de partage sur initiative de l’ARTP.

Le Directeur Général de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP) dévoile dans cette vidéo les ambitions de son institutions à l’endroit de la presse sénégalaise.

INTERVIEW

 

Pour McKinsey Global Institute (MGI), les pays africains peuvent être classés en quatre catégories selon leur capacité à tirer profit de la révolution numérique qui s’annonce sur le continent : les leaders, les suiveurs, les émergents et les sous-classés.

Dans le rapport “Les lions passent au numérique : le potentiel de transformation d’internet en Afrique”, publié le 20 novembre 2013, l’institut de recherche McKinsey Global Institute (MGI) estime que la contribution d’internet au PIB annuel de l’Afrique pourrait passer de 18 milliards de dollars aujourd’hui à 300 milliards de dollars en 2025. Pourtant, tous les pays n’abordent pas la vague numérique de la même façon, ni avec le même enthousiasme.

MGI présente ainsi un “indice des piliers d’internet” (i5F), développé par le cabinet international de conseil en stratégie McKinsey, qui permet de mesurer la capacité de chaque pays à tirer le meilleur de la révolution numérique.

Leaders et suiveurs

Il repose sur cinq piliers : la présence d’une stratégie nationale en faveur des TIC, le niveau d’infrastructures, un environnement sain pour les entreprises, le capital financier du pays et la présence d’une main d’oeuvre douée de bonnes compétences technologiques.

L’institut arrive ainsi à diviser l’échantillon de 14 pays africains sélectionnés (environ 90% du PIB de l’Afrique), en quatre catégories : les leaders, les suiveurs, les émergents et les sous-classés.

La révolution numérique en Afrique : les leaders, les suiveurs et les sous-classés 2

Le score i5F est un indicateur du niveau de “préparation” de chaque pays à l’expansion d’internet. Le score i5F moyen des pays sélectionnés par McKinsey est de 37%, contre 50% dans les pays émergents et 66% dans les pays développés.

Les scores du Kenya et du Sénégal s’expliquent, selon McKinsey Global Institute, par la stratégie nationale de ces deux pays. Le gouvernement du Sénégal, rappelle MGI, a ainsi été l’un des premiers sur le continent à investir dans la fibre optique et à promouvoir le déploiement des cybercafés. L’Institut met également en avant les ressources consacrées par le Kenya et le Sénégal à la numérisation de l’éducation, de l’administration publique et des soins de santé.

Le Maroc et l’Afrique du Sud, deux des plus importantes économies du continent, occupent le statut de “followers” en raison de la part relativement moins importante accordée par l’État à la stratégie NTIC. Le score de l’Angola, de l’Algérie et de l’Éthiopie reflète, selon MGI, des performances fort en dessous de leur potentiel.

Contribution d’internet au PIB

Aussi, MGI mesure la contribution d’internet au PIB ; cette dernière rassemble les activités liées à la création et à l’utilisation des réseaux et des services internet dans quatre grandes catégories : la consommation privée, les dépenses publiques, l’investissement privé et la balance commerciale. À l’échelle du continent, internet représente 1,1% du PIB, contre 1,9% dans les pays émergents et 3,7% dans les pays développés.

Le Sénégal et le Kenya prennent la tête du classement des pays où la contribution d’internet au PIB est la plus élevée (3,3% et 2,9% respectivement), suivis par le Maroc (2,3%), le Mozambique (1,6%) et l’Afrique du Sud. Le rang occupé par le Sénégal et le Kenya s’explique en partie par la faiblesse de leur PIB par rapport à des pays comme l’Afrique du Sud ou le Maroc.

Classement des pays africains selon la contribution d’internet au PIB (%)

Sénégal – 3,3%
Kenya – 2,9%
Maroc – 2,3%
Mozambique – 1,6%
Afrique du Sud – 1,4%
Côte d’Ivoire – 1,3%
Tanzanie -1,3%
Cameroun-1,2%
Ghana -1,1%
Égypte -1%
Algérie – 0,8%*
Nigeria – 0,8%*
Éthiopie – 0,6%
Angola – 0,5*

* En tenant compte du poids des exportations d’hydrocarbures, la contribution d’internet au PIB de l’Algérie, du Nigeria et de l’Angola atteint respectivement 1,1%, 1,5% et 1,2% du PIB.

Par Joël TÉ-LÉSSIA

Source : Jeune Afrique

On dit souvent que le temps est le meilleur des juges. Cette maxime vient encore de se confirmer et ce pour le grand plaisir de ceux qui croient en la vérité, la vérité absolue. Pour rappel, il y a un peu plus d’un mois, nous avions annoncé en exclusivité sur ITmag que l’opérateur Tigo était devenu le nouveau leader de l’Internet mobile au Sénégal. Nous vous épargnons de revenir sur tout ce qui s’en est suivi comme débats et contestations par la suite. Même certains de nos amis et confrères de la presse spécialisée s’y étaient mêlés. Lire ici, et .

Notre position était tout simplement de ne point polémiquer et d’attendre tout tranquillement le prochain rapport de l’ARTP. Enfin, il est là, disponible depuis ce vendredi 08 août.

Le dernier rapport trimestriel sur le marche des télécommunications (avril – juin 2014) publié par l’ARTP est comme d’habitude plein d’informations. Mais la chose qui a le plus attiré notre attention se trouve dans la dernière page. Il s’agit des parts de marché des opérateurs sur le segment Internet mobile hors clés. Regardez bien ce qui est indiqué sur le troisième la quatrième colonne du graphique ci-dessous.

ARTP Rapport T2-2014 - marche internet mobile hors cles

Il s’agit bien là des parts de marché des opérateurs sur le segment Internet mobile et on voit clairement que c’est Tigo qui dominait ce marché entre janvier et mars 2014.

En publiant ces chiffres à l’époque avant tout le monde, avant même l’ARTP. La pilule était dure à avaler pour certains. Et enfin, l’ARTP avait même choisi d’omettre ce tableau dans son document qui sera rendu public par ses soins quelques heures après la publication de notre article. Et pourtant sur tous les précédents rapports (consultables sur le site de l’ARTP), les parts de marché sur ce segment Internet mobile sont bien affichés. Mais lorsque les chiffres ne sont pas favorables à Orange, cela ne peut être le cas. Et a-t-il fallu encore que Orange reprenne le dessus sur ce marché pour que notre fameux tableau revienne ? Question sans réponses à notre niveau. Orange a-t-il tordu le bras à l’ARTP pour que ces chiffres ne soient pas publiés sur le précédent rapport ? Là non plus, question sans réponses à notre niveau.

Nous avons été accusé à tort pour tout simplement avoir présenté les faits tels quels sans aucune forme de subjectivité. Il y en a même qui nous avaient taxés d’être manipulés par on ne sait qui ☺.

Aujourd’hui la question qui mérite d’être posée par les spécialistes du secteur est de savoir comment Tigo avait fait pour gagner autant de parts de marché en très peu de temps ? Ensuite comment Orange a su bien riposter pour reprendre le dessus en trois mois seulement ? Nous y reviendrons certainement avec détails et analyses.


 

La Commission de protection des Données Personnelles  (CDP) a adressé, les 28 et 30 juillet 2014, des lettres de demande d’explication aux sociétés de transfert d’argent Joni Joni, Wari et Western Union suite à la diffusion de sms incitant les personnes à utiliser leur service pour les transferts d’argent avec à la clé la possibilité de gagner des prix sous forme de sommes d’argent.

Cette prospection directe effectuée à partir des bases de données des clients non déclarées devant la CDP et sans le consentement des personnes concernées est une violation de la législation sur les données personnelles.

Par conséquent, la CDP a envoyé à chacune des sociétés concernées une lettre de demande d’explication dans laquelle elle lui enjoint de mettre fin à cette pratique et de procéder dans les meilleurs délais à la déclaration des fichiers, systèmes et bases de données nominatives en leur possession. Conformément à la législation, les procédures contentieuses ouvertes par la CDP peuvent aboutir à des sanctions administratives et pécuniaires.

Pour rappel, la CDP informe les structures souhaitant faire de la prospection directe de respecter les conditions suivantes : déclaration préalable de la base de données auprès de la CDP, recueil du consentement des personnes concernées et la possibilité pour ces personnes de pouvoir s’opposer à la réception des SMS publicitaires à tout moment.