L’entreprise américaine Oracle vient de corser son offre d’infrastructure cloud avec deux nouveaux services: Oracle Database Backup et Storage Cloud. Ces deux nouvelles solutions sont offertes aux entreprises qui déploient des plateformes de cloud hybride.
Le service de sauvegarde de base de données qui fait partie du portefeuille PaaS d’Oracle est intégré à son offre Recovery Manager et prend en charge le chiffrement.
Le service Oracle Database Backup joue le rôle de sauvegarde de base de données. Il fait partie du portefeuille PaaS d’Oracle. Il est intégré à son offre Recovery Manager et prend en charge le chiffrement.
Pour ce qui est de Oracle Storage Cloud, le système (compatible avec les API) assure un accès aux données via le service REST et Java. « Les nouveaux services sont basés sur des standards ouverts, intégrés pour fonctionner ensemble de façon transparente, et conçus pour assurer la pleine transférabilité entre des environnements sur site et cloud », indique Oracle.
L’Organisation des professionnels des TIC (OPTIC) organise, en partenariat avec le Conseil National du Patronat du Sénégal (CNP), une journée de réflexion sur « Les instruments du financement des entreprises du secteur des TIC » le Mercredi 9 Avril 2014 au Pullman Teranga à partir de 9 h.
Les différents acteurs impliqués dans le financement : FONGIP, FONSIS, BNDE, Fonds à frais partagés ADEPME et les banques à travers l’APBEF seront réunis afin de discuter autour de la problématique du financement des PME-TIC.
Ces dernières années ont vu une forte croissance de la téléphonie mobile, en particulier dans les pays en développement. Ce n’est pas seulement le besoin croissant en services de communication qui a vu l’explosion de la téléphonie mobile, mais le besoin de services ciblant des secteurs tels que la banque, la santé, l’éducation et même le processus démocratiques. Le téléphone mobile est devenu un synonyme de développement à cause de son accès par toutes les couches de la population et partout dans le monde, même dans les endroits les plus reculés. Bien que le téléphone mobile ait été au cœur d’une utilisation croissante dans les initiatives de développement, il n’est qu’un dispositif parmi un nombre croissant de possibilités. L’utilisation d’appareils mobiles va au-delà du téléphone mobile ; elle englobe l’utilisation des tablettes, netbooks, et ordinateurs portables.
M4D (Mobile pour le Développement) est un domaine académique en pleine expansion qui fait partie du domaine des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) pour le développement (ICT4D en anglais). Le Centre de recherche HumanIT de l’Université de Karlstad en Suède a conduit la reconnaissance de M4D comme domaine de recherche et a publié extensivement sur le sujet (thèses de master et de doctorats, travaux de recherche). Il a également organisé avec succès, depuis 2008, trois conférences internationales biannuelles. Ces conférences étaient l’occasion de réunir des universitaires, praticiens, décideurs et technophiles pour établir le rôle des appareils mobiles pour le développement, et plus particulièrement le cas des téléphones mobiles.
La première conférence M4D a eu lieu à l’Université de Karlstad en Suède en 2008, la deuxième conférence à Kampala, Ouganda, en 2010, et le troisième à New Delhi, Inde, en 2012. Dans un esprit d’inclusion, HumanIT a décidé en collaboration avec l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar d’organiser M4D 2014 au Sénégal. Prenant acte de la sous-représentation des francophones et de l’Afrique de l’Ouest lors des conférences précédentes, l’objectif est de donner de la visibilité aux travaux courants de M4D et d’accroître les initiatives de recherche en M4D dans cette région.
Lancé par Google il y a près de six mois, le concours Africa Connected ou l’Afrique connectée en français a franchi sa dernière ligne droite lundi 1er avril avec la cérémonie de récompenses des lauréats tenue à Nairobi au Kenya.
Cette compétition avait pour objectif de réunir des histoires vécues inspirantes témoignant de l’influence du web et des produits Google sur la vie quotidienne des Africains. Ainsi, 2200 histoires provenant de 35 pays d’Afrique sub-saharienne ont été enregistrées, parmi lesquelles 10 ont été nominées dont une seule provenant d’un pays francophone. Il s’agit de celle du sénégalais Lamine Mbengue.
Les lauréats sont : Sitawa Wafula (Kenya), Eseoghene Odiete (Nigeria), Christopher Panford (Ghana), Eric Obuh (Nigeria) et Eunice Namirembe (Uganda). Ils ont reçu chacun un chèque de 25 000 $.
Google a également surpris les cinq finalistes restants en leur attribuant à chacun une somme de 10 000 $ afin de les aider à développer leurs entreprises et leurs projets et leur donner encore plus d’impact social et économique précise le blog Google Africa.
Les autre finaliste sont : Tim McGuire (Afrique du Sud), Nqobizitha Mlilo (Zimbabwe), Mayowa Adegbile (Nigeria), Lamine Mbengue (Sénégal) et Steve Kyenze (Kenya).
Voici la vidéo du live de la cérémonie en replay.
PS : Nos compatriotes du JT Rappé ont également été de la partie avec une participation de haute facture pour un épisode spécial dédié à l’évènement. A voir à partir de la 24ème minute.
La Société pour l’Attribution des Noms de Domaine et des Numéros sur Internet (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers – ICANN) a signé un contrat avec ZA Central Registry (ZACR) permettant à .Africa de lancer ses opérations et activités.
Le contrat a été signé, mercredi 26 Mars, en marge de la 49iéme réunion d’ICANN qui se tient actuellement à Singapour ; en présence de Akram Atallah, président de Global Domains Division à ICANN ; Lucky Masilela, directeur général de ZACR, Neil Dundas, directeur exécutif et de Moctar Yédaly de la commission de l’Union Africaine.
Le lancement de .africa est prévu en Mai 2014.
Le ministre de l’économie et des finances du Sénégal et le directeur général de Sonatel, ont procédé jeudi 27 mars 2014 à la signature d’une Convention permettant au groupe Sonatel d’accompagner l’Etat dans sa volonté de réduire de moitié sa facture de télécommunications conformément à la volonté de Monsieur le Président d’après un communiqué parvenu à notre rédaction.
L’Etat du Sénégal avait sollicité en effet son partenaire télécoms Sonatel pour l’accompagner dans la matérialisation des instructions de Monsieur le Président de la République en vue de trouver des solutions innovantes permettant d’atteindre cet objectif précise le communiqué.
Cette Convention est l’aboutissement de plusieurs séances de travail entre les équipes du Ministère de l’Economie et des Finances, de l’Agence de l’Informatique de l’Etat (ADIE) qui a été désignée Maître d’Ouvrage Délégué par l’Etat et du Groupe Sonatel.
En phase avec l’objectif ainsi poursuivi par l’Etat du Sénégal, Sonatel a fait des propositions innovantes aussi bien sur le Mobile, le Fixe que les infrastructures de télécommunications qui sont en adéquation avec les besoins de l’Etat en matière de télécommunication.
Selon le communiqué, les Solutions convenues entre l’Etat et le groupe Sonatel pour réduire et maîtriser la facture sur le téléphone mobile conduiront entre autres à la mise en réseau de toutes les lignes mobiles Orange de l’Etat, ce qui se traduira par des appels gratuits et illimités au sein de ce Groupe Fermé d’Utilisateurs (GFU).
Pour une bonne maîtrise de la consommation notamment pour les appels en dehors de ce réseau, du crédit téléphonique sera alloué à chaque ligne mobile ainsi qu’un forfait data pour l’accès à l’Internet Mobile.
En ce qui concerne les lignes fixes numériques de l’Etat, il a été retenu de l’illimité pour les appels vers les lignes mobiles de l’Etat sur le réseau Orange (24H sur 24H) et les lignes du réseau fixe de Sonatel (8 à 18 heures).
Aussi du crédit sera alloué en même temps à chaque ligne analogique de l’Etat.
Concernant les équipements télécoms, il sera mis en place un logiciel centralisé de limitation de consommation (gescompte) et un crédit mensuel sera positionné tous les mois sur chaque poste. Des dispositions techniques innovantes sont également prises pour la maîtrise des consommations pendant les déplacements à l’étranger (appels en roaming).
En définitive, cette signature de convention permet à l’Etat du Sénégal à travers son partenaire historique, Sonatel, de réduire les dépenses de fonctionnement de l’Etat à travers la réduction de moitié des factures téléphoniques de l’Etat et de disposer ainsi de 11 milliards FCFA pour prendre en compte d’autres besoins des populations tels que préconisé par Monsieur le Président de la République.
La Commission de protection des données personnelles du Sénégal (CDP) a reçu le 18 février 2014 l’Association des Professionnels de la Presse en Ligne (APPEL). Cette rencontre de prise de contact avait pour objectif d’informer les membres de APPEL sur les activités de la CDP notamment la collecte des données personnelles sur les sites web via les newsletters, les contacts ou les formulaires ; le traitement des données des salariés (fichiers du personnel et systèmes de vidéo) ; l’utilisation d’informations nominatives dans les commentaires qui suivent la publication des articles, etc.
La Voix HD, cette technologie qui permet d’optimiser la qualité sonore des communications téléphoniques vient d’être activée chez l’opérateur sénégalais Orange. Depuis quelques jours, des panneaux publicitaires dans les rues de Dakar font l’annonce. La même annonce est également présente sur la page facebook de Orange depuis ce lundi matin.
La Voix HD permet de réduire considérablement le bruit dans une conversation.
Cette technologie n’est pas nouvelle chez Orange car elle est déjà utilisée dans plusieurs pays où l’opérateur est présent, aussi bien en Europe, dans le Moyen-Orient qu’en Afrique.
Orange Sénégal n’a pas encore donné de détails sur les conditions d’utilisation et d’accessibilité à la Voix HD pour ses clients mais un tour sur le site web dédié nous permet de constater que pour qu’une communication soit en monde HD, les abonnés doivent posséder un téléphone compatible et passer par le réseau 3G/3G+ de l’opérateur.
La Commission de Protection des Données Personnelles du Sénégal a effectué du 10 au 13 Mars 2014 une visite de travail au Burkina Faso pour s’inspirer de l’expérience et de la pratique de son homologue, la Commission de l’Informatique et des Libertés (Cil). Une occasion saisie par les deux organismes pour jeter les bases d’une coopération fructueuse en matière de protection des données personnelles.
La délégation de la CDP, avec à sa tête le président de la CDP, Dr Mouhamadou Lo était composé en outre d’un commissaire et des responsables juridique et technique de la Commission. Pour le Président de la CDP, cette visite s’explique par la longue expérience qu’enregistre le Burkina Faso en matière de protection des données personnelles. En effet, le pays des hommes intègres est l’un des pionniers en matière de législation sur cette question ; en atteste le vote de la loi sur les données personnelles intervenue en 2004. Le choix porté sur le Burkina pour cette visite de travail s’explique également par les similitudes que comptent les deux pays en ce qui concerne l’environnement de la protection des données personnelles.
Madame Marguerite Ouédrago, la présidente de la Cil a fait part de sa satisfaction de cette visite qui confirme le leadership au niveau africain en matière de protection de données personnelles. « En tant que pionnier en Afrique et en tant qu’autorité de protection des données personnelles, nous avons une certaine expérience que nous entendons partager avec les pays voisins et ceux du continent », a fait savoir la présidente. Plusieurs communications des deux commissions ont rythmé ce séjour qui a permis à la délégation sénégalaise de s’imprégner mais aussi de s’inspirer du modèle de régulation au Burkina. Abordant l’environnement des Tics mais aussi les enjeux de la protection des données personnelles, Madame Marguerite Ouédrago a souhaité une coopération entre les deux structures. Une coopération qui s’est matérialisé avec la signature d’une convention de partenariat entre les deux commissions pour un appui mutuel dans le cadre de la lutte contre la violation de la vie privée au sein des deux pays. A cela s’ajoute la tenue d’une commission mixte qui se tiendra tous les deux ans à tour de rôle dans les deux pays.
via communiqué
Le NIC – Sénégal, Opérateur du registre .sn a le plaisir de vous annoncer la tenue d’ateliers sur 3 jours sur les extensions de sécurité du Système de Gestion des noms de domaines, autrement connu sous le sigle DNSSEC en collaboration avec ICANN (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers).
Ce «DNSSEC Roadshow » se tiendra du mardi 18 au Jeudi 20 Mars 2014, à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar suivant le programme joint.
Cet événement programmé en deux parties majeures comprend les éléments suivants:
- Une première journée de sensibilisation de la communauté locale sur DNSSEC et ses bienfaits pour la sécurité de l’infrastructure, des services Internet afin de susciter l’intérêt dans l’adoption de DNSSEC. Cette session vise particulièrement les décideurs dans tous les secteurs (les registrants, les bureaux d’enregistrement, les FAI, les ministères, départements et agences Gouvernementales, et les équipes techniques chargés de la sécurité des infrastructures sur Internet.
- Un atelier technique sur DNSSEC, à destination des ingénieurs et techniciens en charge de la gestion des domaines, conçu pour enseigner les éléments de ce protocole et son déploiement dans une infrastructure publique d’accès à Internet, en mettant l’accent sur problématiques de sécurité.
A l’issue de ces journées avec l’appui des experts de ICANN, présents à cette occasion, le NIC Sénégal de l’Université Cheikh Anta Diop préparera, en étroite collaboration avec l’ensemble des acteurs majeurs de l’Internet au Sénégal, un plan d’action à court terme devant conduire à la mise en opération de DNSSEC par la signature de la zone .sn et à sa déclaration au niveau des serveurs racines de ICANN.
Cette étape importante pour l’extension .sn, marque la contribution du NIC Sénégal à l’émergence d’une économie numérique sous la bannière de son extension géographique, telle que souhaitée par le Chef de l’Etat et le Gouvernement du Sénégal.
En espérant, que vous nous ferez l’honneur de faire participer à ces journées, et dans l’attente d’une confirmation de votre intérêt par retour de mail à nic@nic.sn ou par téléphone au 338242005. Les inscriptions en ligne se font sur le site www.nic.sn, je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de notre profonde considération.