La startup (ou start-up) de l’anglais américain startup company, littéralement « société qui démarre », en français « jeune-pousse », est à l’origine un terme utilisé pour désigner les sociétés technologiques et de croissance rapide. C’est une entreprise en construction qui ne s’est pas encore lancée sur le marché commercial ou seulement à titre expérimental.
Mais la Banlieue Startup Tour 1.0 va au-delà de cette définition. Oui la Banlieue Startup Tour 1.0 au-delà de l’accompagnement a la création d’entreprise des jeunes, et ceci a travers une compétition qui est la startup, la Banlieue startup Tour 1.0 apporte aussi des concepts tel que le
- E-Job
- E-Education
- E-Entrepreneuriat
- E-Solutions
destinés a promouvoir l’entrepreneuriat des jeunes a travers des outils web et des applications qui leurs permettront soit de trouver un travail en ligne ou de suivre des cours en ligne ou de développer son réseaux de partenaires ou offrir plus de visibilité a son projet et nouer de nouveaux partenaires d’affaires a travers les réseaux sociaux professionnels ou de couvrir de nouvelles opportunités d’affaires a travers nos réseaux de partenaires ou nos Networking durant la banlieue Startup Tour. Par ailleurs promouvoir aussi une éducation et une bonne culture numérique à la jeunesse.L’association J.E.P.N.A. (Jeunes Entrepreneurs et Promoteurs du Numérique Africain) et le M.W.A. (Mouvement Kepaaru Askan Wi) lancent la Banlieue Startup Tour 1.0 ce samedi 15 mars à Pikine.
Pour plus d’infos, visiter le site de Banlieue Startup Tour 1.0.
Ce rapport présente la situation du marché des télécommunications au 31 décembre 2013, ainsi que les évolutions enregistrées au cours de l’année. L’analyse porte sur les marchés de la téléphonie fixe, mobile et de l’Internet.
La téléphonie fixe
Le parc global de lignes de téléphones fixes au 31 décembre 2013 s’élève { 343 718 lignes. Après une hausse de 1,3% le trimestre précèdent, le parc de la téléphonie fixe recule de 0,9% au cours de ce trimestre, soit une perte de 3 262 lignes. Ce fléchissement du parc de la téléphonie fixe s’explique par le ralentissement de la croissance du parc de lignes résidentielles (0,15% contre 0,35% le trimestre précèdent) et par la baisse du parc des lignes professionnelles (-4,82%).
Cette baisse du parc entraine une diminution de 0,03 points du taux de pénétration de la téléphonie fixe 1 qui est ainsi estimé à 2,53% au 31 décembre 2013.
Dans le même temps, le volume des communications émises poursuit sa tendance à la baisse. Il est estimé à 27,68 millions de minutes mensuelles contre 28 millions de minutes mensuelles à la fin du trimestre précèdent.
Ce segment de marché reste toujours dominé par l’opérateur historique Sonatel, qui détient désormais 85,8 % des parts de marché en termes de lignes et qui est le seul à intervenir sur le marché des lignes professionnelles.
La téléphonie mobile
Le parc global de lignes de téléphones mobiles, estimé au 31 décembre 2013, à 13 133 772 lignes et en progression de 3,24% par rapport au trimestre précèdent, ne cesse d’augmenter depuis un an.
A noter que le volume des communications émises a également augmenté au cours de ce trimestre (3,49 milliards de minutes cumulées contre 3,27 milliards de minutes cumulées au trimestre précédent), ce qui confirme le dynamisme de ce segment de marché qui croit donc, tant en nombre de lignes qu’en volume de communications.
La croissance du parc global de lignes de téléphones mobiles au cours de ce trimestre est principalement soutenue par Tigo et Expresso dont les parcs ont respectivement augmenté de 255 501 et 115 879 lignes. Le parc d’Orange a aussi augmenté de 40 647 lignes. Ainsi, en termes de parc, Tigo détient 22,03% des parts de marché contre 21,15% pour Expresso. A noter qu’Orange reste l’opérateur leader avec 56,82 % de parts de marché.
Le taux de pénétration du parc de lignes mobiles 2 continue de progresser et est estimé à 96,8% au 31 Décembre 2013 contre 93,77% le trimestre précèdent.
Le marché de la téléphonie mobile est toujours dominé par les offres prépayées (99,4% du parc global contre 0,6% pour les offres post payées).
Enfin, la majorité des appels émis par les usagers restent sur le réseau de l’opérateur de l’appelant (environ 90%). Le reste est réparti entre le trafic sortant vers les autres réseaux nationaux (environ 7%) et le trafic sortant vers l’international (environ 3%).
L’internet
Le marché de l’Internet connait actuellement une importante croissance au Sénégal, du fait du développement de l’Internet mobile. Le parc suit une tendance à la hausse pour s’établir à la fin de ce trimestre à 2 294 036 lignes, en progression trimestrielle de 60,5 %. Le taux de pénétration3, estimé à 16,9%, a également augmenté de 6 points par rapport au trimestre précèdent.
Ce marché reste largement dominé par les segments « internet mobile » et « clé internet » qui représentent respectivement 86,9% et 7,1% du parc internet global. Les parcs de l’Internet mobile, ADSL et clé internet s’inscrivent en hausse contrairement au parc de l’Internet bas débit qui ne cesse de diminuer au cours de l’année.
Du point de vue de l’analyse concurrentielle, les parts de marché sont réparties entre les trois opérateurs dans des proportions différentes. Orange reste l’opérateur leader sur ce segment avec globalement 50% de parts de marché, suivi d’Expresso et de Tigo (respectivement 34% et 16% des parts de marché globales).
Télécharger le rapport (pdf)
Un séminaire d’échanges sur les infractions prévues par le code des télécommunications s’est tenu jeudi 06 mars 2014 à l’Ecole nationale de police. L’objectif était de sensibiliser les opérateurs et les usagers à de multiples cas d’agression des réseaux et services des télécommunications.
L’Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP), en partenariat avec la Police nationale, organise le jeudi 06 mars 2014 à l’Ecole nationale de Police une Journée de sensibilisation sur les infractions dans le secteur des télécommunications.
Les travaux débuteront à partir de 09 heures et seront placés sous la présidence effective de M. Abou Lô, Directeur général de l’ARTP et Mme Anna Sémou Faye, Directrice générale de la Police.
Une communication sera faite par l’ARTP sur le thème « La réglementation en matière d’infractions commises dans le secteur des télécommunications ». Les opérateurs de téléphonie exposeront chacun sur les cas de vols de câbles et arnaques au préjudice des consommateurs, des opérateurs et de l’économie nationale.
Le Club des Directeurs de Systèmes d’Informations du Sénégal procéde à la cérémonie de lancement de son nouveau site internet mercredi 5 mars 2014 à 09 heures dans les salons de l’hôtel Terrou-Bi à Dakar.
Ce nouveau Site, réalisé par Axxend Corp dans le cadre de son partenariat avec le Club DSI, a pour vocation de créer un espace de communication qui va décloisonner les idées et les expériences vécues dans nos entreprises respectives.
Au cours de cette cérémonie présidée par son excellence Monsieur le Ministre de la Communication et de l’Economie Numérique, le thème suivant sera abordé :
« Protection des Données à caractère personnel, enjeux et perspectives dans l’entreprise Sénégalaise »
Ce thème qui sera introduit par le Dr. Mouhamadou LO, Président de la Commission de Protection des Données à caractère Personnel (CDP), est en parfait accord avec un de nos objectifs majeurs, à savoir : favoriser l’échange et le partage des connaissances entre les directeurs des systèmes d’information des entreprises et des administrations sénégalaises pour faire émerger l’excellence.
Sonatel a enregistré un chiffre d’affaires de 738 milliards de francs CFA en 2013, soit une hausse de 11,4% sur les résultats de l’année précédente, rapporte le site de l’hebdomadaire Jeune Afrique (JA). Sonatel a également enregistré ”une augmentation de 11,1% de son résultat net à 190 milliards de F CFA’’ par rapport à 2012, indique la même source.
Citant Youssouf Carius, économiste en chef de l’agence de notation Bloomfield Investment, basée à Abidjan, le journal explique que cette évolution du chiffre d’affaires de l’opérateur historique sénégalais ”est en grande partie portée par son activité dans les deux Guinées (Conakry et Bissau) .
Selon l’analyste financier, les deux pays ”contribuent à hauteur de 67% dans l’évolution positive du chiffre d’affaires du groupe télécoms”.
”Si la SONATEL réalise toujours une grande partie de ses résultats au Sénégal (58% du chiffre d’affaires et 52% de ses bénéfices), la société y a perdu 5 points de parts de marché en un an, contre 8 points gagnés en Guinée-Bissau et 13 en Guinée”, explique Carius.
”La bonne performance de l’opérateur dans ses filiales ouest-africaines montre aussi, soutient David Jean Faye, analyste financier à CGF Bourse, que les investissements consentis par la SONATEL commencent à porter leurs fruits”, poursuit Jeune Afrique.
Il rappelle qu’en 2013, l’opérateur a investi 51 milliards de F CFA au Sénégal contre 65 milliards de F CFA dans ses filiales.
Sur l’année écoulée, ces dernières ont contribué à hauteur de 71% à la croissance du chiffre d’affaires du groupe et ont généré 48% du résultat net.
(Avec APS)
En visite à Dakar les 27 et 28 février 2014, M. Pierre Dandjinou, vice-président d’ICANN pour l’Afrique appelle les africains à plus d’engagement et d’actions dans la gouvernance mondiale d’internet. Il s’exprimait Vendredi lors d’une rencontre avec les acteurs de l’internet du Sénégal à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.
Devant les enjeux et défis énormes qui interpellent la gouvernance d’internet dans son ensemble au niveau mondiale; M. Dandjinou appelle les africains à s’engager dans les processus mondiaux de concertation et de décisions pour porter la voix de l’Afrique.
Ces enjeux et défis ont pour nom la probabilité d’une fragmentation de l’internet suite à une série de risques dont la cybercriminalité, le non respect des droits humains et de la vie privée sur Internet. Les révélations de Snowden aux Etats Unis, les possibilités de surveillance des citoyens par les pouvoirs publics et les inquiétudes liées à la sécurité du Net sont autant d’évènements récents qui amènent de plus en plus d’Etats à œuvrer pour la sécurité de l’Internet et à demander une plus grande implication de tous dans la sécurisation et la gestion de l’outil incontournable qu’est devenu Internet.
Face à ces défis, Pierre Dandjinou souligne « qu’en plus des rencontres du forum mondial sur la gouvernance de l’internet, les organisations en charge de l’internet ont pris des initiatives commençant par la déclaration de Montévidéo qui demande moins d’emprise de l’administration américaine sur la gestion de l’internet et une plus grande internationalisation des fonctions de l’IANA ».
Au demeurant, la conférence sur l’avenir de l’internet du 23 au 24 Avril 2014 au Brésil discutera entre autres sujets des recommandations du panel de haut niveau institué pour discuter de l’avenir de la coopération mondiale dans le domaine de l’Internet.
En outre, le démarrage de la mondialisation d’ICANN avec l’installation de hubs hors des Etats Unis (Singapour et Istanbul) et sa probable mutation en organisation internationale accentuent les défis et interpellent les acteurs africains à plus d’actions. Il s’agira de redéfinir le rôle des acteurs, mais surtout de trouver un mécanisme garantissant le multilatéralisme. Selon Pierre Dandjinou « si l’on ne peut plus accepter qu’un seul Etat (les Etats Unis) ait un rôle prépondérant, il faut également trouver une formule robuste et légitime qui assure l’ouverture, la résilience et la sécurité de l’internet, un seul internet pour tous ! »
M. Dandjinou n’a pas manqué de souligner la morosité de l’industrie des noms de domaine en Afrique avec sept registrars existants sans oublier les difficultés dans la gestion technique des cctlds des pays africains. Nous rappelons que l’ICANN est l’acronyme pour Internet Corporation for Assigned Names and Numbers. L’ICANN est un organisme de coopération internationale à but non lucratif créé en 1998 et dont l’objectif est de piloter la gestion internationale de l’attribution des noms de domaines et des adresses IP.
Mamadou LO
Membre du groupe multipartite sur la gouvernance d’internet en Afrique
La Commission de protection des données personnelles (CDP) a reçu le 28 février 2014, la déclaration d’une partie des fichiers et bases de données portant sur les informations nominatives des clients de la Société nationale des télécommunications (SONATEL).
Un fait qui intervient après l’arrêt d’un plan d’actions par les deux structures qui devrait permettre à l’opérateur téléphonique de se mettre en règle avec la législation en vigueur en ce qui concerne la protection des données personnelles.
Selon le communiqué, au total, la CDP a reçu 27 déclarations de traitement portant entres autres sur l’enregistrement vidéo des salariés et des clients, l’annuaire de collection des informations sur les clients fixes, les bases de données des abonnés tant du fixe que du mobile ainsi que celle des clients de Sonatel Multimédia. A cela s’ajoutent deux (02) demandes d’autorisation portant sur un système de gestion des accès et du pointage magnétique et un autre axé sur des accès et du temps de présence par biométrie.
Pour le président de la CDP, Dr Mouhamadou Lo, cette première étape va permettre aux membres de la Commission d’étudier les fichiers et les bases de données détenus par Sonatel. A la fin de ce processus, la Commission délivrera pour chaque fichier ou base de données soit une autorisation, soit un récépissé de déclaration en accord avec la loi sur la protection des données personnelles.
Il a tenu à rappeler que la Commission de protection des données personnelles n’a pas pour vocation de collecter et sauvegarder ces données mais plutôt de vérifier leur conformité et l’utilisation qui en sont faites par les responsables de traitement. De plus, la CDP à le pouvoir d’effectuer des contrôles sur site pour vérifier la conformité des déclarations reçues.
Cette démarche faite par l’opérateur téléphonique Sonatel est le début d’une série qui devrait toucher les autres opérateurs notamment Tigo et Expresso mais aussi l’ensemble des responsables de traitements publics ou privés. La CDP en application de la loi n°2008-12 du 25 janvier 2008 a démarré ses activités depuis décembre 2013.
Créée pour assurer une protection efficace des informations nominatives et des libertés individuelles des sénégalais, elle a pour mission de vérifier la légalité de la collecte et de l’utilisation de toutes les données personnelles et de s’assurer que toutes les précautions sont prises pour empêcher qu’elles ne soient utilisées à d’autres fins.
Le journal télévisé de la RTS1 a réalisé un grand dossier sur le projet de transition de la télévision analogique vers la télévision numérique.
Dans cette série de reportage diffusée sur quatre jours entre le mardi 21 janvier et le vendredi 24 janvier 2014 plusieurs sujets ont été évoqués parmi lesquels :
- comprendre le passage au numérique (00:00)
- l’usage des fréquences qui seront libérées (04:12)
- les installations techniques nécessaires (09:30)
- les préalables pour une production de qualité (13:09)
- les aspects réglementaires et juridiques (15:57)
- les types de téléviseurs pour le numérique (19:13)
- l’avenir des télévisions sur internet, les webTV (22:48)
- les modes de financement du projet (26:51)
- invitée finale : Mme Maïmouna Diop, membre du comité exécutif du CONTAN (29:26)