Il y a bientôt près de deux mois, le paysage du réseau téléphonique mobile togolais a été amputé d’un de ces deux opérateurs qui opère sur le territoire. Il est reproché à Moov, puisse que c’est de lui qu’il s’agit de n’avoir pas mis à jour les termes de son contrat. Pour l’obliger à s’y conformer, l’Autorité de Réglementation des Secteurs des Postes et Télécommunications a suspendu ses services depuis le 10 Août 2009.Cette décision a fait couler beaucoup d’encre et les togolais condamnés à leur propre sort ont réappris à vivre autrement leur quotidien, isolés de tous leurs correspondants et ce avec les conséquences désastreuses d’une inéquation que l’opérateur Moov n’arrive toujours pas à résoudre. Comme retombée immédiate découlant de cette suspension, bon nombre de personnes qui étaient abonnés à l’ex opérateur Moov étaient obligé certains de migrer vers le second opérateur mobile Togocel, lequel avait survécu à la tsunami de l’Autorité de Réglementation et pour d’autres, ils se sont dirigés vers l’operateur sans fil Illico qui a débuté il y a très peu ses activités dans le pays. Il est donc vérifié ici qu’effectivement le malheur des uns fait le bonheur de autres car le désormais affaire Moov a profité à certains pour faire une bonne visibilité sur le marché. Pour le Togo qui sort avec beaucoup de peines des longues années de son isolement et de difficultés pour embaucher les jeunes qu’il a formé, on estime que l’on n’a pas deviné la gravité des impacts qu’aura la suspension de Moov sur le peuple. Ce qui devrait arriver, arriva et aujourd’hui nous sommes au pied du mur devant les faits accomplis et dommage que c’est la classe des démunis qui paie les pots cassés. Depuis que ce problème a surgit, l’on comprend mal pourquoi ce bras de fer perdure depuis des semaines mettant du coup les employés de l’opérateur dans une situation de chômage technique. A coté d’eux, nous avons les relais et les distributeurs agrées qui sont obligés par la tournure des événements de baisser le rideau de leurs petits commerces. Voila planté le décor de l’application de la sentence de l’Autorité de Réglementation avec ses effets néfastes non seulement pour l’opérateur mais aussi sur les abonnés et en général sur toute la population togolaise en général. Comme la nature a horreur du vide, d’autres opérateurs par la force des choses s’infiltrent sur le territoire et plus précisément du coté de la frontière du Bénin à Aneho et aussi du coté de la frontière du Ghana à Lomé. Ils sont passionnés ce togolais qui préfèrent s’offrir les services de certains réseaux tels que MTN, TIGO et ZAIN.
L’ampleur que prend l’extension de ces réseaux parmi la population a forcé la main à l’Autorité de Réglementation de sortir de sa réserve. En effet dans un communiqué rendu public par cette autorité à la télévision nationale, TVT, l’ordre est intimée à ceux qui s’adonnent à l’exportation des services d’autres opérateurs mobiles autres que ce reconnus par l’Etat Togolais de cesser immédiatement leurs activités sous peines de tomber sous la sanction de la loi. Cet appel sera-t-il entendu par les concernés surtout quand on l’on sait qu’ils ont la particularité de faire des va-et-vient de part et d’autres de la frontière mais aussi surtout que les populations concernées sont aussi à la fois citoyennes des pays d’où émettent les réseaux qu’ils utilisent maintenant. La délimitation que nos pays ont héritée de la colonisation est à suffisance pour apporter du bémol aux tenants du communiqué. La sortie de l’Autorité est justifiée mais l’applicabilité de sa décision sera un peu difficile, excepté quelques vendeurs de kit de connexion et de cartes de recharges qu’on rencontre souvent à Kadjoviakopé. Paradoxalement de l’autre coté de la frontière à Aflao au Ghana, on retrouve la même situation contre laquelle nos autorités s’élèvent. Les services du réseau Togocel sont mis en vente là bas et certains ghanéens préfèrent eux aussi utiliser ce réseau. Que fera t-on donc à ces derniers ? En attendant des réponses et des mesures plus concrètes, il est plus qu’impérieux aujourd’hui qu’on libère l’espace de la téléphonie mobile au Togo pour qu’on n’oblige pas la population à boycotter nos propres produits. Soyons conséquent avec nous même et donnons la chance à notre slogan ‘’ Consommez produits Togolais ‘’ d’être une réalité.
Il y a bientôt près de deux mois, le paysage du réseau téléphonique mobile togolais a été amputé d’un de ces deux opérateurs qui opère sur le territoire. Il est reproché à Moov, puisse que c’est de lui qu’il s’agit de n’avoir pas mis à jour les termes de son contrat. Pour l’obliger à s’y conformer, l’Autorité de Réglementation des Secteurs des Postes et Télécommunications a suspendu ses services depuis le 10 Août 2009.Cette décision a fait couler beaucoup d’encre et les togolais condamnés à leur propre sort ont réappris à vivre autrement leur quotidien, isolés de tous leurs correspondants et ce avec les conséquences désastreuses d’une inéquation que l’opérateur Moov n’arrive toujours pas à résoudre. Comme retombée immédiate découlant de cette suspension, bon nombre de personnes qui étaient abonnés à l’ex opérateur Moov étaient obligé certains de migrer vers le second opérateur mobile Togocel, lequel avait survécu à la tsunami de l’Autorité de Réglementation et pour d’autres, ils se sont dirigés vers l’operateur sans fil Illico qui a débuté il y a très peu ses activités dans le pays. Il est donc vérifié ici qu’effectivement le malheur des uns fait le bonheur de autres car le désormais affaire Moov a profité à certains pour faire une bonne visibilité sur le marché. Pour le Togo qui sort avec beaucoup de peines des longues années de son isolement et de difficultés pour embaucher les jeunes qu’il a formé, on estime que l’on n’a pas deviné la gravité des impacts qu’aura la suspension de Moov sur le peuple. Ce qui devrait arriver, arriva et aujourd’hui nous sommes au pied du mur devant les faits accomplis et dommage que c’est la classe des démunis qui paie les pots cassés. Depuis que ce problème a surgit, l’on comprend mal pourquoi ce bras de fer perdure depuis des semaines mettant du coup les employés de l’opérateur dans une situation de chômage technique. A coté d’eux, nous avons les relais et les distributeurs agrées qui sont obligés par la tournure des événements de baisser le rideau de leurs petits commerces. Voila planté le décor de l’application de la sentence de l’Autorité de Réglementation avec ses effets néfastes non seulement pour l’opérateur mais aussi sur les abonnés et en général sur toute la population togolaise en général. Comme la nature a horreur du vide, d’autres opérateurs par la force des choses s’infiltrent sur le territoire et plus précisément du coté de la frontière du Bénin à Aneho et aussi du coté de la frontière du Ghana à Lomé. Ils sont passionnés ce togolais qui préfèrent s’offrir les services de certains réseaux tels que MTN, TIGO et ZAIN.
