“Les deux sociétés ont été incapables d’exploiter les licences qui leur avaient été octroyées par le gouvernement et elles ont été incapables d’honorer les obligations contenues dans les contrats de concession régulièrement signées par elles-mêmes et l’ ARCT, un représentant de l’Etat du Burundi”, a expliqué le directeur général dl’ARCT, Salvator Nizigiyimana, au cours d’une conférence de presse.
La société HITS TELECOM Burundi avait obtenu la licence GSM de 3e génération et la licence Internet sans fil en juillet 2008. Une autre licence Internet sans fil a été octroyée à l’opérateur Comium Data la même année.
Le directeur général de l’ARCT a profité de l’occasion pour faire un clin d’oeil aux autres sociétés de télécommunications qui se retrouveraient dans les mêmes situations de prendre leurs dispositions pour ne pas subir les mêmes sanctions.
Au Burundi, quatre sociétés étrangères de droit privé ont bénéficié des licences GSM et certaines d’entre elles exploitent aussi la licence Internet sans fil à côté d’une compagnie étatique, ONAMOB.
Source: africatime.com