Les deux partenaires partageront leurs infrastructures existantes, a expliqué Mickael Ghossein qui dirige les activités d’Orange au Kenya dans un communiqué, soulignant que des économies d’échelles seront ainsi réalisées.
Les groupes de télécoms sont sous pression au Kenya pour réduire leurs coûts, la forte concurrence sur les prix ayant fortement grevé leur chiffre d’affaires.
Cette coentreprise sera ouverte à d’autres opérateurs.
[readon1 url=”http://www.fr.reuters.com”]Source :fr.reuters.com [/readon1]