Le fournisseur d’accès à Internet Free, filiale à 100 % du groupe Iliad, seul candidat à avoir déposé un dossier pour devenir le quatrième opérateur mobile français à la date limite, jeudi 29 octobre, devrait être fixé sur son sort avant Noël. Par ce nouvel arrivant, l’Autorité de régulation des télécoms (Arcep) espère stimuler la concurrence sur le marché français en ouvrant la voie à un quatrième opérateur mobile, derrière France Télécom, SFR et Bouygues Télécom. Ces concurrents ont d’ailleurs entamé une bataille juridique s’attaquant aux modalités d’attribution de la quatrième licence et au processus même d’enchères.
Le projet d’Iliad vise à se frayer une place sur le marché en faisant baisser la facture de mobile des Français. Le fournisseur d’accès à Internet mise sur ses activités actuelles dans le fixe, ses 4,4 millions d’abonnés ainsi que sur la notoriété de sa marque pour percer dans le mobile. Outre l’achat de la licence, facturée 240 millions d’euros, le nouvel entrant devra construire son réseau, un investissement évalué à un milliard d’euros.
Le fournisseur d’accès à Internet Free, filiale à 100 % du groupe Iliad, seul candidat à avoir déposé un dossier pour devenir le quatrième opérateur mobile français à la date limite, jeudi 29 octobre, devrait être fixé sur son sort avant Noël. Par ce nouvel arrivant, l’Autorité de régulation des télécoms (Arcep) espère stimuler la concurrence sur le marché français en ouvrant la voie à un quatrième opérateur mobile, derrière France Télécom, SFR et Bouygues Télécom. Ces concurrents ont d’ailleurs entamé une bataille juridique s’attaquant aux modalités d’attribution de la quatrième licence et au processus même d’enchères.
