Les plus visés sont les deux géants chinois des télécommunications, en l’occurrence Huawei et ZTE. , les équipementiers chinois. D’ailleurs, l’ANSSI, ayant déjà écarté les équipementiers chinois des cœurs de réseaux, voudrait maintenant “aller plus loin, notamment sur les stations de base des réseaux mobile 4G”, écrit la même source.
Et ce n’est pas tout, puisque “l’intervention sur des réseaux français à partir de centres situés à l’étranger, comme l’a fait par exemple Alcatel à partir de la Roumanie, serait également interdite”.
Est-ce que des pays comme la Tunisie vont prendre les mesures? Ce n’est pas évident, vu le forcing “financier” que la Chine mène partout et dans plusieurs domaines dans notre pays.
Source: webmanagercenter.com